dimanche 30 octobre 2011

Le visa d'étude pour la france

Le visa étudiant

Le visa étudiant est indispensable pour les étudiants non européens venant suivre leurs études en France. Il vous autorise à entrer sur le territoire français. Il doit être demandé longtemps avant votre arrivée en France, après avoir obtenu une pré-inscription dans une université ou école. Retrouvez dans cette fiche toutes les informations sur les différents types de visas étudiants et les modalités d’obtention.

Avez-vous besoin d’un visa ?

- Vous êtes ressortissant d’un pays de l’Union européenne (Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède) ou d’Islande, du Liechtenstein, de Norvège, de Suisse, de Monaco ou d’Andorre :
Vous n’avez pas à faire de demande de visa.

- Vous venez en France pour un séjour d’études de moins de 3 mois et vous êtes ressortissant de l’un de ces pays : Antigua et Barbuda, Argentine, Australie, Barbade, Brésil, Brunei, Canada, Chili, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, Darussalam, El Salvador, Etats-Unis, Guatemala, Honduras, Israël, Japon, Macédoine, Malaisie, Maurice, Mexique, Monténégro, Nicaragua, Nouvelle-Zélande, Panama, Paraguay, Saint-Marin, Saint-Siège, Serbie, Seychelles, Singapour, Uruguay et Venezuela :
Vous n’avez pas à faire de demande de visa.

- Vous êtes dans un autre cas :
Vous devez absolument obtenir un visa étudiant avant d’arriver en France.

Les différents types de visas étudiants

- Le visa de court séjour pour études (visa C) :
Il vous permet de venir étudier en France pour un séjour qui ne durera pas plus de 3 mois. Ce visa n'est pas renouvelable.

- Le visa de long séjour pour études (visa D) :
Il vous permet de venir étudier en France pour un séjour de plus de 3 mois.
Dans les 3 mois qui suivent votre arrivée en France, vous devrez faire valider votre visa auprès de l'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration (OFII)



Source:visa etude pour la france

venir étudier en France : documents et démarches

Pour venir étudier en France, il existe deux situations : 1) La délivrance de plein droit :
Sauf si votre présence constitue une menace à l'ordre public, vous pouvez obtenir un titre de séjour de plein droit dans les cas suivants :

  • un visa long séjour vous a été accordé dans le cadre d'une convention signée entre l'Etat et un établissement d'enseignement supérieur où vous êtes inscrit ;
  • si vous avez réussi les épreuves du concours d'entrée dans un établissement supérieur ayant signé une convention avec l'Etat ;
  • si vous avez obtenu le baccalauréat français préparé dans un établissement relevant de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger ou un diplome équivalent et si vous avez suivi pendant au moins 3 ans une scolarité dans un établissement français de l'étranger ;
  • si votre pays a signé avec la France un accord de réciprocité relatif à l'admission au séjour des étudiants.
Dans ce cas, la liste des documents à fournir varie selon les situations. Vous pouvez vous la procurer en Préfecture.
2) dans les autres cas, vous devrez obtenir un titre de séjour "étudiant" et justifier des documents suivants :

  • un passeport en cours de validité
  • un visa de long séjour, sauf dispenses
    • Toutefois, si vous êtes entré en France pour y faire des études avec un visa de court séjour comportant la mention "étudiant concours" et si vous passez le concours les épreuves d'admission préalable avec succès, vous pouvez demander un titre de séjour sans avoir à produire un visa de long séjour.
    • En outre, la loi du 26 novembre 2003 prévoit la possibilité, pour un étudiant, de se voir délivrer une carte de séjour, malgré l'absence de visa de long séjour, sous réserve d'une entrée régulière, en cas de nécessité liée au déroulement des études et lorsque l'étranger a suivi sans interruption une scolarité en France depuis l'âge de 16 ans et y poursuit des études supérieures. Le dossier reste à l'appréciation du préfet qui peut se montrer sévère.
  • des documents justifiant que vous venez pour étudier ; il s'agit :
    • d'un certificat de préinscription, d'inscription ou d'une carte d'étudiant
    • un établissement d'enseignement supérieur ne peut refuser d'inscrire un étudiant étranger aux motifs qu'il n'est pas en mesure de justifier d'un titre de séjour (circulaire du 1er décembre 1992). Néanmoins certaines universités conservent parfois la carte d'étudiant dans l'attente que les étudiants présentent le récépissé ou la carte de séjour de la préfecture
    • si l'enseignement suivi n'appartient pas à un cycle traditionnel secondaire ou universitaire, le certificat doit préciser :
      • un numéro d'agrément
      • la nature de l'enseignement
      • la durée de l'inscription
      • l'horaire et le nombre d'heures par semaine
      • une attestation du versement des frais de scolarité pour un trimestre
  • des documents attestant de vos moyens d'existence : il s'agit de tous les avantages matériels dont vous pouvez disposer : logement assuré gratuitement par un parent, etc.
    Est considérée comme ressource suffisante le fait de disposer d'une somme égale à 70 % de l'allocation mensuelle de base d'une bourse du gouvernement français, soit environ 430 euros par mois en 2004-2005 (si vous venez avec votre conjoint et vos enfants à charge, le montant exigé est le double).
    Vous pouvez présenter les documents suivants :
    • si vous êtes boursier, une attestation de bourse précisant le montant, la durée de la bourse et la nature des études suivies, établie sur papier à en-tête de l'organisme
    • des documents justifiant des ressources assurées par un répondant en France :
      • prise en charge (modèle dans les centres de réception des étrangers) et
      • photocopie du titre d'identité du répondant : carte nationale d'identité ou passeport français ou titre de séjour en cours de validité et
      • justification des ressources du répondant (3 derniers bulletins de salaire et dernier avis d'imposition sur le revenu)
    • des documents justifiant des ressources assurées par des fonds en provenance de l'étranger :
      • chèques de voyage, bordereau de change...
      • tout document prouvant que vous recevez régulièrement des fonds en provenance de l'étranger et précisant leur montant mensuel
    • si vous travaillez ou si vous avez travaillé à temps partiel :
      • votre autorisation provisoire de travail délivrée par les services de la main d'oeuvre étrangère et vos trois derniers bulletins de salaire
      • si vous travaillez au pair : le contrat de travail ou la lettre d'engagement de la famille d'accueil qui devra être visée par le service de la main d'oeuvre étrangère : 127, boulevard de la Villette, 75483 PARIS CEDEX 10, Métro Jaurès
  • Vous êtes dispensé de présenter les documents justifiant la nature de votre séjour, attestant de vos moyens d'existence dans les cas suivants :
    • si vous rejoignez votre conjoint français ou si vous voyagez en sa compagnie
    • si dans le cadre du regroupement familial, vous rejoignez votre époux ou vos parents séjournant régulièrement en France
    • si une dispense vous a été accordée par les autorités consulaires françaises dans votre pays de résidence
  • un certificat médical
  • 3 photos d'identité en noir et blanc, de face, tête nue, de 3,5 cm x 4,5 cm, récentes
  • un timbre fiscal
  • un justificatif de domicile personnel ou au nom de la personne qui vous héberge :
    • dernière quittance de gaz ou d'électricité ou facture de téléphone ou contrat d'assurance habitation
    • hébergement par un particulier : produire également :
      • une attestation d'hébergement établie par le logeur (modèle dans les centres de réception des étrangers)
      • et photocopie de sa carte d'identité ou de son titre de séjour
    • hébergement en foyer ou en résidence universitaire : attestation du directeur
Attention : dans un délai de deux mois suivant votre entrée en France, vous devez demander un titre de séjour.
Si vous séjournez en France sans les documents exigés, vous êtes en situation irrégulière et vous encourez des sanctions.


Source:Visa etudiant france

10.000 étudiants ont manifesté contre la réforme des universités

Une manifestation organisée par le syndicat étudiant Höok s’est déroulée jeudi soir devant le bâtiment du ministère de l’éducation, contre le nouveau projet de loi du gouvernement sur l’éducation supérieure.
Selon le chiffre officiel, 10.000 personnes se sont rassemblées afin de protester contre la nouvelle réforme. La manifestation a commencé de manière plutôt festive, accompagnée par de la musique et de nombreux slogans affichés par les pancartes des étudiants.
• « Volt egy Almom : diploma » : J’avais un rêve : mon diplôme
• « A Tudas nem a pénztöl függ ! » : La connaissance ne dépend pas de l’argent !
• “Tanulok, dolgozol es szopjak is ?” : J’étudie, tu travailles et il faut en plus que je vous suce ?
• “Ce n’est plus la mode depuis bientôt 300 ans de retenir les gens à l’intérieur”, en référence à la volonté du gouvernement d’imposer plusieurs années de travail en Hongrie après l’obtention d’un diplôme. Au travers d’interviewes diffusées pendant la manifestation, les étudiants ont estimés qu’il fallait plutôt créer des incitations positives afin que les étudiants restent en Hongrie.


Les dirigeants des syndicats des principales universités hongroises étaient présents, à l’exception notable des universités religieuses (la ministre de l’éducation Rozsa Hoffmann appartenant au parti chrétien-démocrate KDNP). Des représentants des étudiants ont chacun leur tour discouru durant une bonne partie de la manifestation, notamment le chef du syndicat des étudiants en médecine, particulièrement concerné étant donné qu’une grande partie d’entre eux part exercer à l’étranger.
Les discours ont souvent fait allusion au fait que 22 ans auparavant, un étudiant de l’université d’ELTE (le 1er ministre actuel Viktor Orban) a contribué à l’établissement d’une Hongrie libre avec un accès facilité à l’éducation supérieure.
L’hymne hongrois a été chanté par la foule, tandis que l’un des porte-parole des manifestants a détourné la chanson de Koncz Zsuzsa - « Ha én rozsa volnék », qui accompagne souvent les manifestations d’opposants au pouvoir - pour ironiser sur le nom de Rozsa Hoffmann, la ministre de l’éducation. Une grande partie des participants portaient d’ailleurs une rose à la main. La manifestation s’est clôturée avec l’enterrement symbolique des études supérieures hongroises.


Cette manifestation achève une série de rassemblements d’étudiants qui ont eu lieu dans l’ensemble du pays au cours du mois d’octobre. Le ministre de la Justice Tibor Navracsics et David Nagy, représentant du syndicat Höok, se sont rencontrés dans la semaine. Une des propositions ressortie de cette entrevue est la mise en place d’un prêt étudiant avec un taux d’intérêt inférieur au taux d’intérêt en vigueur. Lors de la manifestation, des étudiants se sont étonnés du fait que le gouvernement veuille endetter les étudiants, alors qu’il a fait de la réduction de la dette de l’Etat une de ses priorités.
Concernant la loi, il reste encore beaucoup de zones d’ombre et de nombreuses questions sans réponses, par exemple savoir combien d’universités seront encore subventionnées par l’Etat cette année.
 

Rien ne s'arrange pour les étudiants étrangers

Rien ne s'arrange pour les étudiants étrangers


Ils sortent des grandes écoles et sont visés par la circulaire Guéant qui durcit les conditions d'obtention d'un permis de travail.


Manque de chance, ils aiment la France. L'adorent, même. Une enquête TNS Sofres publiée en octobre révèle en effet à quel point les étudiants étrangers plébiscitent l'Hexagone. Pour 90 % d'entre eux, c'est même le premier pays à recommander comme terre d'accueil.
Ironie du sort, ils craignent pourtant de tomber aux oubliettes. Une fois la campagne présidentielle lancée, qui se souciera en effet de ces centaines de jeunes diplômés étrangers en attente d'un changement de statut pour gagner le droit de travailler sur le sol français ? L'urgence de la situation n'a pourtant pas échappé à la classe politique. Jeudi, la nouvelle vice-présidente PS du Sénat, Bariza Khiari, dénonçait "l'injustice" de la circulaire du 31 mai et annonçait le dépôt imminent d'un projet de résolution. Pendant ce temps, Europe Écologie s'inquiète : "Jusqu'où ira la xénophobie d'État ?" "C'est un message négatif de fermeture que nous adressons aux étrangers", fustige, quant à lui, le président du Nouveau Centre, Hervé Morin.
Le 31 mai 2011, Claude Guéant, ministre de l'Intérieur, et Xavier Bertrand, ministre du Travail, avaient envoyé aux préfets une circulaire durcissant les conditions d'obtention d'un permis de travail. L'objectif : passer de 30 000 visas de travail à 20 000 par an. Et tant pis pour les diplômés étrangers de nos écoles les plus prestigieuses. HEC, Sciences Po, Polytechnique... Un manque à gagner inestimable que Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles, n'a pas hésité à déplorer dès les débuts de la polémique : "Ces refus de visas de travail auront des conséquences sur l'attractivité de la France. Et c'est une contrainte supplémentaire sur les entreprises." Le 18 octobre, la CGE déposait sur le bureau du ministre de l'Intérieur près de 150 dossiers refusés, pour un réexamen au "cas par cas". Mais si 30 d'entre eux auraient été débloqués, les critères de cette réévaluation restent flous et Claude Guéant ne semble pas prêt pour autant à baisser la garde : "La vocation première des étudiants, c'est de retourner chez eux pour faire profiter leur pays de leurs compétences."
"Un Français pourrait occuper le poste"
Les concernés, eux, ne l'entendent pas vraiment de cette oreille... D'autant que, pour la plupart, ils avaient réussi à décrocher un CDI en France avant la sentence. Pour Anna, jeune Américaine fraîchement diplômée de l'EDHEC en Marketing Management, c'est une aberration : "J'ai fait mon stage de fin d'études chez Chanel. Ils étaient très contents de moi et voulaient me prolonger, mais j'ai préféré accepter un CDI chez Swarovski. Un poste basé en France de manager planning pour la création internationale sur les marchés américains et d'Europe de l'Est. Comme je parle anglais et russe couramment, c'était le poste rêvé." Du rêve à la réalité, il n'y a qu'un pas. Lorsque Anna demande le statut de salarié, c'est un refus pur et simple et l'obligation de quitter le territoire sous 30 jours. Motif ? "Un Français demandeur d'emploi pourrait occuper le poste." Vraiment ? Anna ignorait que les diplômés bilingues en russe des affaires couraient les rues parisiennes...
Tout comme Anna, Nacira s'est vu refuser cet été son changement de statut. Et avoue ne pas bien saisir l'intérêt de l'État français dans cette affaire. Cette jeune Algérienne, détentrice d'un doctorat en pharmacie dans son pays, d'un second doctorat à Lyon en spécialité industrielle, et d'un master 2 en microbiologie, a enchaîné trois longs stages en milieu hospitalier et dans la recherche. "On nous rabâche tout au long de nos études que l'industrie pharmaceutique française manque d'effectifs. Et c'est vrai, les places à pourvoir existent bien, constate la jeune fille, dépitée. Mais une fois qu'on postule, on ne veut plus de nous. C'est à n'y rien comprendre..."
La France, pays rêvé ?

Et encore, ces jeunes femmes font partie de ceux dont le dossier rejeté a donc été traité. D'autres, semble-t-il, n'ont pas même eu cette chance. C'est le cas de Johanna, 24 ans, américaine, diplômée de Yale et de Sciences-Po, qui a suivi toutes ses études au lycée français, d'abord à Washington, puis à New York. "En septembre, j'ai été embauchée par une start-up française qui travaille à l'international. Quand j'ai demandé mon visa de travail, on a refusé le dépôt de mon dossier sous prétexte qu'il aurait fallu s'y prendre au moins un mois avant la fin de validité de mon visa étudiant. Mais les instructions changent tout le temps, et les sites officiels ne sont jamais mis à jour..." Et de déplorer les absurdités du système : "Cette circulaire nous met dans des situations grotesques. Les préposés de la préfecture sont tellement débordés qu'ils nous incitent même à frauder en demandant un simple prolongement de visa étudiant. Du coup, c'est ce que j'ai fait."

En attendant, son entreprise fait tout ce qui est en son pouvoir pour la garder. La seule solution pour rester ? Se réinscrire à Sciences-Po, casser son CDI... et re-signer pour un stage ! Rémunération : 2 200 euros par mois. C'est le stage le plus cher du monde : "On dirait que l'État français aime perdre de l'argent, relève la jeune fille, perplexe. Un stage n'est pas imposé à la hauteur d'un vrai poste que je sache !" Loin de s'en réjouir, la jeune fille se dit "déçue par cet accueil".

Dans son bureau du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Laurent Wauquiez déplore cette situation. Quand on évoque ces jeunes diplômés, il plaide l'erreur d'interprétation de la circulaire par les autorités. "Bien sûr que nous nous battons pour le rayonnement de notre enseignement supérieur. Ces jeunes ont sans doute vocation à retourner travailler chez eux, mais qu'ils aient une première expérience en France en fait des ambassadeurs à vie de notre pays." Interrogé sur ces dossiers rejetés après ou sans examen, Wauquiez répond : "Envoyez-les moi." L'adresse ? 21, rue Descartes, 75005 Paris.
 http://www.visa-etudiants.com/visa-etudiant-france/341-rien-ne-sarrange-pour-les-etudiants-etrangers.html

lundi 24 octobre 2011

Visa étudiant France

Comment obtenir son visa étudiant pour les étudiants algériens

Démarche Visa étudiant 

 

AMBASSADE DE FRANCE EN ALGERIE
Service de Coopération et d'Action Culturelle
Centre pour les Etudes en France
ETUDIER EN FRANCE
ATTENTION : NOUVEAU DISPOSITIF
LE CENTRE POUR LES ETUDES EN FRANCE (CEF) EST MIS EN PLACE EN ALGERIE
POUR PERMETTRE AUX ETUDIANTS DE S’INFORMER ET DE DEFINIR LEURS PROJETS AFIN
DE MIEUX PREPRARER LEUR SEJOUR D’ETUDES EN FRANCE.
TOUT ETUDIANT SOUHAITANT SUIVRE DES ETUDES EN FRANCE DOIT
OBLIGATOIREMENT S’INSCRIRE SUR LE SITE cefalgerie.org
(ouverture prochaine du site internet CEF Algérie, se renseigner auprès des Centres Culturels
Français sur les modalités et les frais d’inscription)
DANS LE CADRE DE L’INSTRUCTION DE LEUR DOSSIER, LES ETUDIANTS POURRONT
ETRE INVITES A PRECISER LEURS PROJETS D’ETUDES LORS D’UN ENTRETIEN AU CENTRE
CULTUREL FRANÇAIS D’ALGER.
1/ Procédures d’inscription dans un établissement d’enseignement supérieur
français pour l’année universitaire 2006/2007 ; des modalités différentes
selon les niveaux d’études et les types d’établissement.
1.1/ Universités
1.1.1 Etudiants concernés par la Demande d’Admission Préalable (DAP)
Inscription dans les deux premières années de la licence en trois ans (système LMD)
Les étudiants algériens qui souhaitent s’inscrire en université en vue de la préparation des deux
premières années de la licence doivent suivre une procédure d’admission préalable (DAP) qui relève du
Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France (SCAC) à Alger.
Conditions à remplir :
- soit être titulaire du baccalauréat algérien obtenu au cours des sessions 2004 ou 2005 avec la mention
« Assez Bien ».
- soit être titulaire du baccalauréat spécifique algérien dans la section spéciale du lycée Bouamama
d’Alger.
- soit être candidat au baccalauréat algérien session 2006 et avoir obtenu, au cours des deux dernières
années de scolarité et du 1er trimestre de l’année en cours, une moyenne générale d’au moins 12/20.
Tous les candidats doivent passer un test de connaissance du français : le TCF – DAP (voir
encadré paragraphe 3)
Procédure de retrait du dossier :
Le dossier doit être rempli après avoir été téléchargé sur le site :
www.education.gouv.fr/prat/formul/familles.htm entre le 1er novembre 2005 et le 15 janvier 2006.
En cas d’impossibilité d’user de cette procédure, le dossier peut être retiré à titre exceptionnel auprès
des CEF au sein des Centres Culturels Français (CCF).
Procédure de retour du dossier :
Le dossier doit parvenir aux Centres Culturels Français au plus tard le 31 janvier.
Ce dossier doit être accompagné :
- D’une lettre de motivation manuscrite rédigée par l’étudiant précisant son projet d’études en France
et ses perspectives professionnelles.
- Des relevés de notes :
 Pour les bacheliers des sessions 2004 et 2005 : du relevé des notes du baccalauréat traduit en
français accompagné d’une copie de l’original en arabe et de celui de notes obtenues dans
l’enseignement supérieur dans le cas ou l’étudiant est déjà inscrit dans une université
algérienne.
 Pour les candidats au baccalauréat 2006 : du relevé des notes des deux dernières années et du 1er
trimestre de l’année en cours. La réussite au baccalauréat sera exigée (mention assez bien).
Les dossiers ne remplissant pas les conditions définies ci-dessus ne seront ni traités ni restitués.
Les dossiers seront ensuite transmis officiellement par l’Ambassade de France (SCAC) aux universités
françaises qui informeront directement les candidats en cas d’acceptation de leur demande.
Attention
Tout étudiant(e) s’inscrivant ou se faisant inscrire directement dans une université
française sans respecter cette procédure se verra refuser le visa long séjour pour études par le
Consulat Général.
Cette procédure d’admission préalable ne concerne pas :
-Les titulaires du baccalauréat français ou d’un titre français admis en dispense du baccalauréat.
-Les candidats français titulaires d’un diplôme étranger de fin d’études secondaires.
-Les étudiants venant en France effectuer des études dans le cadre d’un programme intergouvernemental
ou défini par une convention inter-universitaire stipulant la dispense.
-Les étudiants boursiers du Gouvernement français, d’organisations internationales ou de
gouvernements dont les bourses sont gérées par un organisme français agréé (CNOUS ou EGIDE).
Tous ces cas relèvent de dossiers spécifiques (Contacts : CEF dans les CCF)
1.1.2 Les études médicales (médecine, pharmacie et odontologie)
Attention : Quelles que soient les études médicales accomplies à l’étranger (et la dispense de
scolarité à laquelle elles peuvent donner droit) la poursuite des études médicales en France est
subordonnée à l’admission en rang utile aux épreuves organisées à l’issue de la première année de
premier cycle (PCEM1).
Il faut donc passer par la procédure d’admission préalable (DAP). Pour la région Ile-de-
France, les étudiants admis dans le cadre de cette procédure sont affectés dans les UFR médicales des
universités par le Service inter-académique d’Affectation des Etudiants en Première Année (SADEP).
Les étudiants partant pour un stage dans le cadre de leur dernière année de médecine ou
les étudiants souhaitant obtenir une attestation de formation spécialisée (approfondie) (AFS-A) ne
sont pas concernés par la procédure DAP mais doivent passer un test de connaissance du français
(voir encadré paragraphe 3).
1.1.3/ Pour certaines filières universitaires, le recrutement se fait sur dossiers spécifiques, par voie de
concours, jury d’admission ou sur titre, dans ce cas l’étudiant doit s’adresser directement à
l’établissement de son choix.
Sont concernés par cette procédure directe, l’entrée en Institut universitaire de technologie
(IUT), l’entrée en Institut universitaire professionnalisé (IUP), l’entrée en Institut d’études politiques
(IEP), l’entrée en Institut d’admission des entreprises (IAE) etc.
1.1.4 Inscription en troisième année de licence ou du « Master » en deux ans
Les étudiants titulaires d’un diplôme d’études supérieures algérien, qui souhaitent s’inscrire en
troisième année de licence (L3), en Master1, en Master2, en DEA, en DESS, en Doctorat ou tout autre
diplôme de 3ème cycle doivent s’adresser directement à l’université de leur choix.
1.2/ « Grandes Ecoles », écoles spécialisées
L’entrée dans ces établissements se fait soit sur concours, soit sur titre, soit sur procédures
spécifiques. Les demandes d’inscription se font directement auprès des établissements.
1.3/ Ecoles d’architecture
En France, les écoles d’Architecture relèvent du Ministère de la Culture. Au nombre de 20, elles
ont donc des règles et des procédures qui leur sont propres.
Les candidats (1er, 2ème et 3ème cycle) peuvent se procurer un dossier de candidature en le téléchargeant :
www.archi.fr/ECOLES/index.html#formulaires à partir du début janvier.
Les candidats pour une inscription en 1er cycle doivent remplir les mêmes conditions (décrites
en page 1) que les étudiants souhaitant s’inscrire en premier cycle universitaire.
Le dossier complet doit être adressé par le candidat, au plus tard le 31 janvier 2005, dans le
Centre Culturel Français dont il dépend. Il est ensuite transmis au service de coopération et d’action
culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France en Algérie qui le transmet, à l’école d’architecture du
premier choix qui, en cas d’acceptation, en avise directement l’étudiant.
Ces étudiants doivent également attester de leur connaissance du Français en passant un test
dans l’un des Centres Culturels Français en Algérie (voir encadré paragraphe 3).
1.4/ Etudes courtes
Des filières de formation de courte durée existent dans tous les secteurs d’activités
professionnelles.
Elles sont dispensées dans les lycées techniques ou professionnels et sont sanctionnées par un
diplôme de technicien supérieur, le brevet de technicien supérieur (BTS).
Elles peuvent aussi être proposées dans des établissements privés professionnels.
Pour s’inscrire, l’étudiant doit prendre contact, dans tous les cas, avec les établissements.
2/ Services rendus par le Centre pour les Etudes en France
Le dispositif « Centre pour les Etudes en France » est hébergé dans les locaux des Centres
Culturels Français d’Alger, Oran, Annaba et Constantine. Il offre aux étudiants candidats à des études
en France un ensemble de services permettant de les accompagner individuellement dans leurs
démarches afin de préparer dans les meilleurs conditions leur départ et leur insertion dans l’Université
Française.
Le Centre pour les Etudes en France propose à chaque étudiant :
 un espace personnel de communication et de suivi de l’état d’avancement des démarches
préparatoires à un départ pour des études en France via internet sur le site
cefalgerie.org
 une information sur le système universitaire français et sur les formations proposées
 un dispositif de préparation linguistique : auto évaluation, cours de français, tests de langue
 un appui aux étudiants dans leurs démarches administratives (dossiers universitaires et
consulaires)
 un entretien individuel avec un conseiller permettant à chaque étudiant de préciser son projet
d’études
3/ Test de langue : une obligation pour tout étudiant souhaitant déposer une
demande de visa pour études
Pour tout étudiant accepté dans une université française, la justification de réussite à un test de
langue sera exigée lors de la demande de visa long séjour pour études.

1/ Etudiants concernés par la procédure de demande d’admission préalable DAP : 1er cycle,
médecine, pharmacie, odontologie, architecture
Ces étudiants doivent passer un test spécifique : le TCF-DAP. Ils doivent obtenir le niveau 4 et
avoir au moins 12/20 à l’épreuve complémentaire obligatoire. Les titulaires d’un DALF niveau
C1 ainsi que les titulaires d’un TEF ayant obtenu 16/20 à l’épreuve d’expression écrite sont
dispensés de ce test.
2/ Etudiants non concernés par la procédure DAP
Ces étudiants doivent attester de leur niveau en français par l’un des examens suivants :
− La réussite au DALF (Diplôme approfondi de Langue Française) niveau C1
− La réussite au DELF (Diplôme d’études en Langue Française) niveau B2
− TCF (Test de Connaissance du Français) datant de moins de deux ans. Niveau 4
− TEF (Test d’Evaluation en Français) datant de moins d’un an. Niveau 4
3/ Ces examens peuvent être passés aux Centres Culturels Français (CCF) d’Alger, d’Annaba,
d’Oran et de Constantine.
4/ Les titulaires du baccalauréat français, les diplômés de l'enseignement supérieur français, les
diplômés d'une licence de français ainsi que les bénéficiaires de programmes de coopération
franco-algérien sont dispensés de ces tests de langue.
4/ Entretien individualisé
Tout étudiant ayant un dossier complet (notamment accord pré inscription dans un établissement
d’enseignement supérieur et attestation de connaissance du français) devra envoyer son dossier de
demande de visa au Centre Culturel Français d’Alger.
Après vérification des pièces fournies l’étudiant pourra être convoqué à un entretien
personnalisé au Centre Culturel Français d’Alger avec un conseiller pour préciser son projet d’études.
Le dossier sera ensuite transmis au Consulat Général de France d’Alger pour instruction de la
demande de visa pour études.
5/ Démarches consulaires
Vous trouverez sur le site du Consulat Général de France à Alger les différentes dates limites
de dépôt ainsi que les pièces à fournir.
L’obtention avant le départ, d’un visa de long séjour est impérative. La régularisation en France
(et dans les autres pays de l’Union européenne) du séjour d’un étranger muni d’un visa touristique et
souhaitant obtenir un titre de long séjour est impossible.
La décision d’octroi du visa relève de la seule compétence du Consulat Général de France
à Alger.
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CONTACTS
Centre pour les Etudes en France – Compétences géographiques
Région Centre
Wilayas : Ain Delfa, Alger, Bejaia, Blida
Bouira, Boumerdes, Chlef, Djelfa, Ghardaia,
Laghouat, Medea, Tipaza , Tizi Ouzou, El
Bayadh, Tissemsilt , M’sila, Tamanrasset
CEF, Centre Culturel Français d’Alger
7, rue Hassani Issad
Tel. : 021 73 01 00 Fax : 021 73 44 96
Courriel : etudesenfrance@djazair-connect.com
Site Internet : Centre Culturel Français d'Alger
Région Ouest
Wilayas : Adrar, Ain Temouchent, Bechar, Mascara,
Mostaganem, Naama, Oran, Relizane , Saida, Sidi
Bel Abbes, Tiaret, Tindouf, Tlemcen
Antenne CEF, Centre Culturel Français d’Oran
112, rue Larbi Ben M’hidi
Tel. : 041 40 35 41 Fax : 0 41 40 11 87
Courriel : ccforandz@yahoo.fr
Site Internet : www.ccf-oran.org
Région Est
Wilayas : Annaba, El Tarf, Guelma, Skikda,
Souk Ahras
Antenne CEF, Centre Culturel Français
d’Annaba
8, boulevard du 1er novembre
Tel. : 038 86 35 08 Fax : 038 86 80 95
Courriel : ccf.annaba@wanadoo.dz
Site Internet : IL PORTALE DELLE IMPRESE LOMBARDE
Région Est
Wilayas : Batna, Biskra ,Bordj Bou Arreridj,
Constantine, El Oued, Illizi, Jijel, Khenchela, Mila,
Ouargla, Oum El Bouaghi, Sétif, Tebessa
Antenne CEF, Centre Culturel Français de
Constantine
1, boulevard de l’indépendance
Tel : 031 91 25 91 fax 031 91 24 92
Courriel : cef@ccf-constantine.com
Site Internet : ccf-constantine.com
Pour en savoir plus
Sur l’enseignement supérieur français, sur les inscriptions dans les établissements, sur la vie étudiante
en France :
- s’adresser au Centre pour les Etudes en France (CEF) dans les Centres Culturels Français d’Alger,
d’Annaba, d’Oran et de Constantine
- consulter les sites suivants :
Redirection cefalgerie.org Accueil - Minist
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